Il serait civilisé que ceux qui puisent dans cet article, pour publication lucrative ou pas, aient le savoir vivre soit d’indiquer leur source soit de faire un lien, merci.
Apport le plus récent du 18 05 2022.
Natura 2000 – ZNIEFF : Zone Naturelle d’Intérêt Écologique Faunistique et Floristique, garrigue de Sournia et grottes de la Désix type 1. Une ZNIEFF est en résumé un inventaire d’espèces à statuts de protection en un lieu donné. Il s’y superpose un Site d’importance Communautaire* voué à la protection des chiroptères, avec Montalba le Château ce sont les seuls SIC du Fenouillèdes.
* Ou Zone de Protection Spéciale du réseau Natura 2000.
Galerie d’espèces à statut de protection. En attendant mieux, disponibles agrandies sur l’article Photos, mélangées à plusieurs centaines de différents thèmes.
Orchidacées ou pas cet inventaire est à compléter, c’est un échantillon de la flore locale figurant sur les listes rouges de l’UICN. Nous avons dénombré pas moins de 12 genres d’orchidées ( 1, 10 à 12, 21, 27 et 28, 37 à 42, 44 et 45, 49 et 50 ) + l’Anacamptis , déclinés en de multiples espèces, toutes protégées. Ne pas les cueillir, ni les arracher. Une éventuelle transplantation serait obligatoirement vouée à l’échec. Leurs racines vivent en symbiose avec des champignons mutualistes ou mycorhizogènes spécifiques à leur biotope.
Aceras anthropophora / Homme pendu. Liste rouge UICN Europe. Statut de protection LC = Préoccupation mineure. Photo 1.
Delphinium elatum sinon D. fissum. Respectivement liste rouge VU = Vulnérable et catégorie LC. Plantnet 36,21% et 17,49 % mais l’écologie Tela Botanica du D. elatum ne coïncide pas avec Prats, nous sommes sur une garrigue à 700 m. d’altitude au milieu de Cistus albidus + laurifolius vaincus par le déficit pluviométrique et un tronc de chêne vert même cause, même effet. 13 à 16.
Delphinium verdunense. 17 à 19.
Dictamnus albus. Espèce patrimoniale. Une fraxinelle photographiée en 1988 et toujours fidèle en 2021. Miraculée de l’assiduité des sangliers, d’un reprofilage de piste et de sècheresses funestes pour les yeuses à l’entour. 20 à 22.
Lilium martagon. LC. Exceptionnel à Prats. Spécimens à 7 et 18 fleurs photographiés à Vira. Sujet à 30 / + boutons observé. Genre victime des chevreuils et surtout d’imbéciles, apparemment relativement peu de visiteurs à Boucheville mais beaucoup de stupidités sur les lis. 35 et 36.
Méconopsis cambrica. LC. Vira. 37.
Médicago hybrida. Patrimoniale.
Onobrychis saxatilis. Patrimoniale. 38.
Ononis rotundifolia, LC . Vira. 39.
Onopordum acaulon.
Ophrys dont un à sépales bleus.
Orchis mascula, tous Liste Rouge LC. 40.
Orchis morio. 41.
Orchis provincialis. 42 et 43.
Orchis purpurea. 44.
Orchis sambucina initialement, maintenant classé dans le genre Dactylorhisa sambucina. 45.
Orlaya grandiflora. LC. 46.
Platanthera bifolia, LC. 47 et 48.
Scorzonera hispanica » Crispatula « . LC. 49 à 51.
Sérapias supposé vomeracea sinon lingua ? 52 et 53.
Ces deux ouvrages habituellement dits romains en toute bonne foi seraient en fait du XVII è. en se référant aux experts, ceux de l’AAPO et Rodrigue Tréton lequel a identifié des bases antérieures sur celui de la Désix. L’ennui est que, comme de coutume, nous avons l’embarras du choix, d’autres spécialistes et datations.
Il serait civilisé que ceux qui puisent dans cet article, pour publication lucrative ou pas, aient le savoir vivre soit d’indiquer leur source soit de faire un lien, merci.
A voir :
– Hormis ceux induits par le titre, des milieux très contrastés, une chapelle préromane à travers des chemins templiers. Dans un espace classé ZNIEFF et SIC, Zone Naturelle d’Intérêt Écologique Faunistique et Floristique des garrigues de Sournia et Site d’Importance Communautaire* pour ses chiroptères. Le tout dans le PNR Corbières – Fenouillèdes.
– Cette Zone Naturelle vaut le détour pour sa pyramide d’anciennes terrasses de culture occupant des pentes allant de 30 % à une approche de la verticale.
Balisage : jaune, hormis le GRP jusqu’à la chapelle ignorez les autres couleurs.
Photos agrandies + choix élargi en allant sur Photos en haut à droite puis recherche des galeries.
Laissez vôtre voiture sur le parking de la cave coopérative à proximité du Bar piscine. Le parking est du côté opposé de la façade avec ombrière et lattes de corten, n’encombrez pas les ruelles du village au risque de vous fourrer dans un guêpier. La DFCI F60 est étroite, sinueuse et réservée aux ayants droit. Mieux à pied vous pourrez vous extasier devant le panorama dans son immensité et tant de points d’intérêt qui autrement passeraient inaperçus.
Observez les toitures encadrant le virage de la départementale, quand le cers s’ y met, c’est avec conviction. Le cers est le même vent que la tramontane des catalans. Simplement ici vous êtes en Occitanie. Un des pays les plus anciennement annexés par la France, en 1258. Quand aux façades traditionnelles, elles ne sont que de pierres et de terre à laquelle s’est rajouté un mortier maigre » Moderne « .
00:00 Prenez la rue des Corbières, la première perpendiculaire à la route. Puis aussitôt à droite, le chemin de la chapelle. Ce qui vous mène à la Fontvieille (prononcez Foun Bielle), la fontaine abreuvoir. Du nom d’une fontaine citée en 1686, sise dans le rec proche. Remplissez vos gourdes, c’est la même eau que celle du réseau et l’opportunité de ne se représentera pas.
L’ayant dépassée, vous arrivez à un nœud de pistes. Le panneau DFCI F60 vous flèche la bonne direction, hors balisage jaune.
00:10 Lo Prat dels eissilhaments,
le pré des supplices et sa chapelle, Vous réintégrez les balisages PR et GRP Tour du Fenouillèdes. Cette chapelle est sans nom, cependant le lieu est dit » Le pré des supplices « . Les seigneurs de ce pays détenaient la haute justice, voir à l’article histoire en 1612. La tour farahon fut la prison de la baronnie de Rabouillet – Joch au XVIIIe siècle.
Sinon au croisement précité, le marquage PR vous promène en contournant la tour Farahon par la gauche, avant de rejoindre la chapelle, via le GRP, à l’intersection de chemins historiques.
Une carrairasse ou carrerasse si repris à la sauce catalane, voie de transhumance ? Pas exclusivement car maintes sections sont encore pavées.
Remarquez dans les buis, un pavement érodé, romain selon la mémoire collective. Laquelle omet que nos pas foulent ceux des templiers. D’une certaine façon ils tenaient tout le canton de Sournia. Raccordement du village à la route Limoux – Prades.
Au prochain virage vous laisserez le bitume et le GRP pour continuer tout droit.
Perspective sur la « frontière » de Charles le Chauve, l’imposante muraille des Corbières qui barre l’horizon au nord et la Marche d’Espagne. Une dynastie comtale, de la lignée d’un cousin germain de Charlemagne, va régner sur le Fenouillèdes et ce qui deviendra la Catalogne nord et sud, jusqu’à la fin des années 1100. Tout en ayant l’obligation de prêter serment d’allégeance aux rois de France. Une de ces clefs de l’histoire omises de part et d’autre des Pyrénées catalanes par ce qui ressemble à un lobby de la Senyera, le drapeau sang et Or, lequel fut adopté en ce temps là par Raymond Béranger IV. Toute histoire impliquant les doigts d’un empereur dans le sang de Wilfred le Velu, un des plus célèbres marquis, est une pure tromperie qui participe d’un négativisme de la même origine que ci – dessus.
00:18 On atteint une nouvelle desserte goudronnée. A suivre momentanément sur la gauche.
Très beau point de vue sur Prats avec les Corbières comme écrin.
Revenus sur vos pas, vous vous engagez sur le sentier pavé tel que l’indique le panneau Sournia 1.7 km. Vous parcourez un plateau entre un ou deux murets qui canalisent vôtre traversée.
Plusieurs cabanes vont attirer vôtre attention de part et d’autre du sentier. Mais elles ne valent pas celles de l’itinéraire qui leur est dédié.
00:26 PC 699 (point cartographié 699 m d’altitude) A l’opposé du plateau vous abandonnez la dite carrairasse par ailleurs traverse de Sournia. Ne tenez pas compte du panneau qui vous indique cette destination et suivez le chemin délavé en tournant sur la gauche de sorte à décrire un U ouvert.
Une jolie cabane délicieusement ombragée vous accueille.
00:30 PC 690 Vous voilà à un cortal, une bergerie en ruine.
Vous ne souhaitez pas continuer, repli tranquille assuré sans avoir à faire demi tour. Voir le plan.
Grand écran sur Campoussy, la frontière de St Louis c’est à dire la Serre de Sournia. La première ligne de sommets de l’autre côté de la vallée devant le mont Canigou. Au delà c’était l’Aragon puis l’Espagne jusqu’au traité des Pyrénées en 1659. C’est donc aussi une marge culturelle et tectonique comme on le verra plus en avant. Le Fenouillèdes a la particularité d’avoir toujours été Français. Sauf deux épisodes résultant chacun de legs testamentaires, abrégés par les rois de France.
A ce qu’il reste de la bergerie de Aîchausses, poursuivez à droite sur le sentier perpendiculaire à la façade et qui vous engage dans le vallon.
Des abricotiers, des céréales et des vignes reconvertis en près. Quelques cabanes méritent au titre de leurs plafonds de s’écarter de la trajectoire.
00:33 Entrée dans le maquis et la ZNIEFF. La voie charretière vous descend à la R.D. 7.
Observez l’abondance de chênes verts détruits par la sécheresse de 2007 – 2008. Le dérèglement climatique n’affecte pas seulement les antipodes… Quand aux sapins Abiès pectinata a l’ubac de la borne IGN ils n’en ont pas eu besoin d’autant pour disparaître bien auparavant.
00:40 PC 621 sur la RD 7 au Pas de la Mandre ( De la renarde ) : Vous accédez à la zone Natura 2000 tout en restant dans la ZNIEFF.
Optez pour l’autre piste qui commence sous la départementale. Sinon si ça suffit pour vous, Prats est à 2.5 km par la route.
Particularité climatique : Un mouchetis d’oliviers sauvages émaille la garrigue jusques en bordure de la piste, pourtant nous sommes à l’altitude 600 m. L’Olea europaea variété sylvestris ou Olivastre en languedocien porte greffe des sélections cultivées est indicatif d’un étage de végétation dit thermoméditerranéen. Les botanistes le situent en zone littorale, en le plafonnant vers 300 m concernant les Pyrénées Orientales. C’est à dire que nous sommes devant un micro climat privilégié, vous allez rencontrer d’autres genres représentatifs, cade, camélée, rue d’Alep, salsepareille … Dans ce milieu des végétaux peuvent être plus hâtifs qu’en plaine du Roussillon ou se démarquer par un retard de végétation insignifiant.
Le Cap Blanc : Vous parvenez à un belvédère sur la vallée close de la Désix, vue d’ensemble sur les oléastres. A voir en semaines 17 à 20 pour la superbe floraison blanc pur des amelenquièrs ou poiriers des rochers / Amelanchier ovalis, les fissures en sont généreusement garnies.
Le calcaire se présente en lauzes, laussas avec incrustations de paillettes d’aspect terreux. Ce rocher fut exploité pour la chaux, son écroulement en serait la conséquence.
Le Cap blanc Fraxinelle en semaine 18.Dictamnus albus en semaine 23. Ne me cueillez pas, intérêt patrimonial.Oratoire de Saïssa
00:48 L’Impériale :
une route selon des critères révolus en bordure de ce qui fut un verger d’abricotiers.
Des abricotiers à cette altitude ? Qui plus est des Bulidas et des Rouges du Roussillon. Eh bien ce fut une réussite magistrale à en susciter des jalousies. Un passionné y faisait prospérer une gamme conséquente d’espèces fruitières et des légumes arrosés à l’eau précieuse : artichauts, asperges, fèves, oignons, tournesols énormes … Ne dit on pas que les apparences sont trompeuses. Ces terres sont plus cultivables qu’il n’y parait, quand on connait son affaire.
On suit ce chemin creux vers le bas.
01:02 Après un pavement oublié des sangliers on accède à un ruisseau généralement à sec. Nôtre parcours se prolonge à même le ravin sur environ 300 m.
ATTENTION En 2023 la végétation se croise dans le ravin, sans empêcher d’avancer, simplement n’allez pas y circuler en short.
01:05 PC 456 Plateau oléicole de Saîchà.
Nous l’avons connu couvert de vignes et de rangs de vénérables oliviers, ultérieurement au gel inégalé de 1956.
A la carrière filer à gauche.
Fleur de fraxinelle / Dictamnus albus à ne surtout pas cueillir car seulement présente dans une douzaine de communes en France.
01:09 Oratoire de la Paillade.
ATTENTION En 2022 débroussaillement en cours de l’oratoire à la rivière.
Un des emplacements présumés du château des Saixa. Sa plus ancienne mention est de 989 dans un acte de donation à l’abbaye de Saint Martin Lys par les nommés Sizibaut et Ermitrud. Aucun vestige n’est parvenu jusqu’à nous, il devait se situer à l’endroit de l’oratoire en montant de Roquevert par le pont des Chèvres non loin de l’église préromane Saint Félicité de Carthage. Sinon un lieu dit Catla, en catalan Catlla : château, à environ 1 km au nord à l’extrémité opposée de la dorsale. La forme occitane avec un L unique synonyme de Calha, n’a en elle même aucun intérêt ici, elle s’applique à la caille, à défaut à la truie.
Question géologie, vous êtes passés vite fait des marnes noires indurées des uns ou schiste à double métamorphisme des autres ( Henri Salvayre ) au calcaire et maintenant c’est du granite. Celui de la plaque ibérique. Vous êtes dans la grande faille mer – océan. Cliquez sur l’article géologie de ce site.
Le sentier en sous bois est pavé de granite, vous êtes sur la route médiévale d’Estagel à Sournia par Ansignan.
Peu après l’oratoire, en vadrouillant entre les chaos granitiques, très belles vues plongeantes sur le défilé de la Désix et le château de Roquevert sur son piton à 500 m. orthodromiques, gardant un nœud routier de cinq directions menant à Campoussy, Sournia, Prats, Pézilla, Trévillach. Les vestiges d’un troisième fortin se dressent dans ce prolongement, sur l’échine calcaire du Roc Blanc. Roquevert fut un village sinon un hameau auprès du château. Un document de 1594 nous apprend que toutes les maisons sont ruinées, peut – être depuis la fin des années 1360 puisque les actes notariés sont absents à dater de 1363. Cahier d’Ille consacré à Trevillach.
01:17 La calade vous a amené au Pont Dels Cabras ( Des Chèvres ).
Romain ou plutôt du IXe – Xe siècle ? Selon de nouvelles sources ( 2019 ) du XIV – XVI è. peut – être, Archéo 66, n° 34, page 101. > Photo en – tête. Son jumeau vous attend tout près, à la borne kilométrique 20, PC 382, au début du pont moderne en rive droite. Suivez le sentier pour un aller – retour de 500 m approximativement jusqu’au :
Pont Dels Mandres ( Des Renardes ) sur la Ferrère, fontaine tarie sous la première arche rive droite, logée dans la construction.
Pont des Mandresde Campoussy – Trevillachsur La Ferrère
01:23 Retour sur la route départementale 619 en rive opposée. On domine la Desix sur environ 1.5 km jusqu’au :
01:36 Panneau chapelle Ste Félicité.
Un prieuré du IXe siècle à guère plus de 200 m en contrebas. Cette église préromane se caractérise par ses arcs outrepassés, évoquant un fer à cheval. Un temps assimilé au style Mozarabe. Assymétrie à gauche de l’abside quadrangulaire par rapport à l’axe de la nef. En allusion à la tête du Christ penchée sur son épaule droite. Comme Saint Michel aux deux églises jumelées, Sainte Eulalie ou Saint Barthélemy de Jonquerolles rattaché à Bélesta. Ce type d’architecture aurait été introduit par les Wisigoths puis repris par les musulmans à la faveur de leur conquête de l’Espagne.
Sainte Félicité située In castellione figure en 1011 sur une bulle de Serge IV, dans les possessions de l’abbaye de Cuxa. In castellione fait vraisemblablement référence au château de Saixa.
Eglise Ste Félicité de Carthage
Un coin à en rêver pour pique niquer au bord du torrent.
01:42 Remontés sur la RD 619, vous vous enfoncez au panneau stop sur une voie viticole goudronnée qui vous ramène à la carrière puis au pseudo ponton.
01:51 Là bifurquez en rive droite.
01:58 PC 526 un petit col. Guère plus en avant sur le versant opposé du ravin :
Espace Natura 2000 – Site d’Intêret CEE Chiroptèresoù vous déambulez depuis le Pas de la Mandre. Document d’Objectifs Natura 2000
Panorama sur la pyramide à degrés de Sournia .
Une grande pyramide dédiée aux Dieux de la persévérance et de la misère. Elle ne fournit plus le moindre épi de la céréale des pauvres, mais elle inspire encore beaucoup de respect et de commisération. C. Guillabert, De Garrigues en Ministères.
Admirez les faissas = terrasses de culture, elles occupent une pente abrupte plongeant sur la piste, un dénivelé de 300 m sur une distance de 250 m*. Au XIXè le chêne vert était rare, tout était cultivé, puis le phylloxéra a été introduit, de nombreuses familles du midi ont été acculées à l’exode en Afrique du Nord, Argentine, c’était la valise ou la famine.
* Incroyable mais… Déductible de la carte IGN 2348 ET.
Vous vous êtes introduits chez les encantadas ou fadas, les fées. A la verticale de la grotte chapelle du Ménier. En remplaçant l’accent aigu par un grave sur le deuxième E on obtient l’équivalent de mine, mineur, minier en Languedoc. Décidément l’endroit est vraiment curieux. Description de cette grotte en 1811 par Nicolas Desmarest.
Vous progressez sur une tire de débardage du bois de Le Vivier en partance pour Ille.
02:06 On retrouve la RD 619 en direction de Sournia.
02:14 Faisons mine d’entrer dans Sournia, pour tourner en face de la gendarmerie au balisage blanc et rouge du GR 36.
Ici naquit le général Tisseyre, demeuré célèbre pour ses faits d’armes en 1863 au Mexique, dans la région de Camerone. Un archevêque de Canterbury et d’autres personnages illustres en sont issus.
02:26 Quitter le GR 36 au croisement dans le ravin en se dirigeant à droite en direction de Prats.
Depuis la gendarmerie nos pas sont à nouveau guidés par des pavés. Ceux de la Strada Confluenta, route Carcassonne – Limoux – Rhedae – Prades – Elne où vous ont devancés les romains, les moines de Cuxa, de Lagrasse, ceux templiers. Toutes sortes de troupes armées de l’Ancien Régime.
02:32 Retour au point de passage 0026.
Ste Félicité, église pré romane : Egouts de toit.
Variantes
La grotte chapelle du Ménier : étant sur la D 619 au dessus de Ste Félicité, suivez cette route en montant. Le sanctuaire est au prochain virage, celui avec les cyprès.
Il est possible de commencer cette randonnée par le col de la Croix de Fer. Ce qui permet d’accéder rapidement au point 0048 l’Impériale. En choisissant la direction la plus à droite, au plus près d’un poirier sauvage. Descendez sans vous éloigner du talus y compris quand la vue se dégage. A l’amorce du vieux chemin de l’Impériale, ce dernier ressemble à celle d’un ravin, sur le côté extérieur d’un virage.
Une fois à Ste Félicité, si le soleil est trop ardent, il sera judicieux ( A plus d’un titre ) de suivre le balisage jaune de fond de vallée jusqu’à Sournia. Ainsi on atteint la gendarmerie via la cave coopérative en une petite demi – heure à la condition que la Désix soit franchissable à ses deux gués, il a fallu s’y reprendre à plusieurs fois en juillet – septembre 2020.
RMEAS : Route médiévale Estagel, Ansignan, Sournia. RMEAP : Route médiévale Estagel, Ansignan, Prades. P : Points pittoresques ou panoramiques. CC : Chemin de Caudiès = Strada Confluenta.. C : Cabanes. TDF : Boucle rando de pays Tour du Fenouillèdes. A : Pont romain sur la Ferrère. B : Pont du IX – Xiè siècle sur la Désix. Pointillés Blancs : Liaison facile avec la table d’orientation. hors sentier. Pointillés bleus : Lit souterrain de la Désix en période de bas étiage. 2 : Voies pavées ou sections de… Flèche simple : Sens de progression. Flèche double : Itinéraire aller retour sur 2 sections. FM : Moulin de Font Marie. Propriété privée. Etoiles rouges : Farahons de Prats et de Roquevert. F : Chapelle pré romane Ste Félicité. M : Grotte chapelle du Ménier. CDF : Col de la Croix de Fer. Font : Fontaine, la Fontvielle. SCV : Ancienne cave coopérative. Point de départ et d’arrivée. Pisc : Piscine municipale surveillée. Bar piscine.
Plan à combiner avec la carte de randonnée IGN 2348 ET Prades.